Dans Genèse 6.13, Dieu dit à Noé :
« La fin de toute chair est arrêtée devant moi ; car la terre est remplie de violence. »
À première vue, ce verset peut nous sembler
dur. On y parle de fin, de destruction, de jugement. Mais ce n’est pas un Dieu
en colère, qui réagit sur un coup de tête. C’est un Dieu qui a tout vu, tout
observé, qui a attendu, espérant que les choses changent. Un Dieu profondément
attristé par ce qu’il voit.
Dieu ne se précipite jamais. Il regarde les
cœurs. Il prend le temps de comprendre, de patienter, de laisser une chance.
Il voit la violence, l’injustice, la souffrance… et il attend, encore et encore.
Mais à un moment, quand le mal devient trop grand, il doit intervenir.
« L’Éternel vit que la méchanceté des
hommes était grande sur la terre… »
(Genèse 6.5)
Ce n’étaient pas de simples erreurs…
Ce que Dieu voyait, c’était une corruption générale, pas juste quelques fautes ici et là. Le mal avait rempli les pensées, les actes, la société tout entière.
« Toutes les pensées de leur cœur se
portaient chaque jour uniquement vers le mal » (Genèse 6.5)
« La terre était pleine de violence » (Genèse 6.11)
Dans ce contexte, Dieu ne pouvait plus rester silencieux. Il ne peut pas ignorer la souffrance causée par le péché. Il ne ferme pas les yeux. Il ne fait pas semblant de ne pas voir.
Même dans cette période sombre, Dieu
cherche un cœur juste, et il trouve Noé.
« Noé était un homme juste et intègre dans sa génération ; Noé marchait avec Dieu. » (Genèse 6.9)
Dieu ne veut pas punir, il veut sauver. Il ne détruit jamais sans avertir, sans proposer un chemin pour échapper au mal.
C’est ce qu’il a fait avec Noé, en lui donnant un plan de salut : l’arche.
Nous vivons, à bien des égards, dans un
monde qui ressemble à celui de Noé. Injustices, violences, égoïsmes… Mais Dieu
n’a pas changé. Il voit, il attend, il espère.
Il fait preuve de patience ne voulant qu’aucun d’entre nous ne périsse, mais il ne peut pas indéfiniment fermer les yeux sur ce qui se passe dans nos sociétés actuelles.
Le jugement de Dieu est déjà prononcé contre le monde tel qu’il est aujourd’hui, il est appelé à disparaître. Mais il prépare un chemin de salut. Il ne détruit pas tout sans offrir une possibilité d’échapper à la destruction.
C’est en Jésus que Dieu est disposé à nous
faire grâce. Car son amour est tellement fort pour nous, qu’il n’a pas accepté
que nous mourrions tous, mais il a offert son fils bien-aimé afin que nous
obtenions le salut par la foi en son sacrifice.
Cette fois, l’arche, c’est Jésus-Christ.
Par lui, Dieu offre un refuge, une porte ouverte pour échapper au jugement et vivre une vie nouvelle.
« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a
donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais
qu’il ait la vie éternelle. » (Jean 3.16)
Ce texte nous montre un Dieu plein de
compassion, mais aussi juste et saint. Il ne peut pas tolérer le mal pour
toujours, mais il veut nous sauver.
« La fin de toute chair est arrêtée devant moi ; car la terre est remplie de violence. »
Il voit la violence, l’injustice, la souffrance… et il attend, encore et encore.
Mais à un moment, quand le mal devient trop grand, il doit intervenir.
(Genèse 6.5)
Ce n’étaient pas de simples erreurs…
Ce que Dieu voyait, c’était une corruption générale, pas juste quelques fautes ici et là. Le mal avait rempli les pensées, les actes, la société tout entière.
« La terre était pleine de violence » (Genèse 6.11)
Dans ce contexte, Dieu ne pouvait plus rester silencieux. Il ne peut pas ignorer la souffrance causée par le péché. Il ne ferme pas les yeux. Il ne fait pas semblant de ne pas voir.
« Noé était un homme juste et intègre dans sa génération ; Noé marchait avec Dieu. » (Genèse 6.9)
Dieu ne veut pas punir, il veut sauver. Il ne détruit jamais sans avertir, sans proposer un chemin pour échapper au mal.
C’est ce qu’il a fait avec Noé, en lui donnant un plan de salut : l’arche.
Il fait preuve de patience ne voulant qu’aucun d’entre nous ne périsse, mais il ne peut pas indéfiniment fermer les yeux sur ce qui se passe dans nos sociétés actuelles.
Le jugement de Dieu est déjà prononcé contre le monde tel qu’il est aujourd’hui, il est appelé à disparaître. Mais il prépare un chemin de salut. Il ne détruit pas tout sans offrir une possibilité d’échapper à la destruction.
Cette fois, l’arche, c’est Jésus-Christ.
Par lui, Dieu offre un refuge, une porte ouverte pour échapper au jugement et vivre une vie nouvelle.
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