« Dieu se souvint de Noé… » (Genèse 8:1)
Pendant plus de six mois, Noé, sa famille
et les animaux vivent enfermés dans l’arche.
Il y a eu les 40 jours et 40 nuits de pluie, les 150 jours de montée des eaux, puis encore des semaines d’attente dans le silence.
Chaque jour, le même décor : des murs de bois, le balancement de l’arche, le grondement de l’eau. Et l’attente. Une attente qui peut sembler interminable pour les occupants de l’arche.
Ils attendent que les eaux baissent, ils attendent un signe indiquant la fin du confinement. Ils attendent de pouvoir enfin poser les pieds sur la terre ferme.
Dans cette arche, il y a l’espérance d’un
monde nouveau.
Un monde où le mal, le mensonge et la corruption auraient été engloutis.
Mais pour que ce monde surgisse, il faut attendre.
Noé ne savait pas quand tout cela finirait.
Et dans cette longue attente, il aurait pu se demander si Dieu l’avait oublié.
Il aurait pu s’interroger sur le silence du ciel.
Contre toute attente, la bible nous informe
que « Dieu se souvint de Noé. »
Il ne s’agit pas d’un vague souvenir, ou d’une pensée nostalgique. Quand Dieu se souvient, cela signifie qu’il est sur le point d’agir. Il se rappelle de Noé avec la ferme intention d’intervenir en faveur du patriarche et de ses compagnons. Il se prépare à apporter une réponse, à offrir une solution.
Se souvenir, dans le langage divin, cela signifie agir, amorcer le changement, ouvrir une issue de secours.
Rappelons-nous d’Israël en Egypte, « Dieu
entendit leurs gémissements… Dieu se souvint de son alliance… » (Exode 2.24).
Et ensuite, il a envoyé Moïse pour les libérer.
De même, nous pouvons nous assurer que Dieu voit nos souffrances, il entend nos cris de détresse, et il ne tardera pas de nous porter secours.
Lorsque nous passons par des moments
difficiles, que nous avons l’impression que le ciel semble sourd, que les
réponses n’arrivent pas, et que la durée de l’épreuve use notre foi.
Lorsque nous sommes enfermés dans l’arche de la grâce, mais l’attente semble interminable.
Lorsque nous ne voyons pas encore la terre ferme de la délivrance, que nous aspirons profondément à un changement de notre situation.
Lorsque l’épreuve bat son plein, que la douleur semble insurmontable...
Il y a une chose que nous devons garder en mémoire : Dieu ne nous a pas oublié.
« L'Éternel est proche de ceux qui ont le
cœur brisé, il sauve ceux qui ont l’esprit abattu » (Psaume 34.18).
Son silence n’est pas un abandon. C’est
souvent une manière de nous apprendre à lui faire confiance, à grandir dans
l’attente. Certainement, il agira : « Recommande ton sort à l'Éternel, mets en
lui ta confiance, et il agira. » Psaume 37:5.
Il y a eu les 40 jours et 40 nuits de pluie, les 150 jours de montée des eaux, puis encore des semaines d’attente dans le silence.
Chaque jour, le même décor : des murs de bois, le balancement de l’arche, le grondement de l’eau. Et l’attente. Une attente qui peut sembler interminable pour les occupants de l’arche.
Ils attendent que les eaux baissent, ils attendent un signe indiquant la fin du confinement. Ils attendent de pouvoir enfin poser les pieds sur la terre ferme.
Un monde où le mal, le mensonge et la corruption auraient été engloutis.
Mais pour que ce monde surgisse, il faut attendre.
Il ne s’agit pas d’un vague souvenir, ou d’une pensée nostalgique. Quand Dieu se souvient, cela signifie qu’il est sur le point d’agir. Il se rappelle de Noé avec la ferme intention d’intervenir en faveur du patriarche et de ses compagnons. Il se prépare à apporter une réponse, à offrir une solution.
Se souvenir, dans le langage divin, cela signifie agir, amorcer le changement, ouvrir une issue de secours.
De même, nous pouvons nous assurer que Dieu voit nos souffrances, il entend nos cris de détresse, et il ne tardera pas de nous porter secours.
Lorsque nous sommes enfermés dans l’arche de la grâce, mais l’attente semble interminable.
Lorsque nous ne voyons pas encore la terre ferme de la délivrance, que nous aspirons profondément à un changement de notre situation.
Lorsque l’épreuve bat son plein, que la douleur semble insurmontable...
Il y a une chose que nous devons garder en mémoire : Dieu ne nous a pas oublié.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire