L'Éternel a déclaré : « Si quelqu'un tue Caïn, il sera vengé sept fois. » Il a ensuite marqué Caïn d'un signe afin que quiconque le rencontrerait ne l'attaque pas.
Caïn a fait preuve d'irrespect envers Dieu en lui présentant une offrande inappropriée. Sa jalousie envers son frère l'a conduit à la vengeance, au meurtre et au refus d'assumer ses responsabilités, tout en considérant son châtiment comme excessif.
Malgré ses actions, Dieu prend le temps de rassurer Caïn. Il ne l’abandonne pas à son triste sort sans lui offrir un réconfort. En cas d'attaque contre sa vie, Dieu lui assure que sa mort ne resterait pas impunie.
L’amour de Dieu pour l’homme pécheur est un mystère que nous avons du mal à saisir. Comme il est dit dans Jean 3 v.16, « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son fils unique. »
L'homme se rebelle, il rejette Dieu et s'enfonce dans le péché, il ne fait aucun cas des appels divins qui parcourt le monde à sa recherche. L’homme insulte Dieu, il utilise son nom en vain et remet en question son autorité. Il ne cesse d’indiquer de manière claire et précise qu’il ne veut pas de Dieu dans sa vie et affirme sa volonté de mener son existence comme bon lui semble.
Et pourtant, contre toute attente, le Seigneur fait preuve d’un amour inconditionnel à l’égard de l’être humain. Il est totalement disposé à lui faire grâce et miséricorde.
L'Éternel est décrit comme miséricordieux et compatissant, lent à la colère et riche en bonté. Il ne nous traite pas selon nos péchés et éloigne nos transgressions aussi loin que l'orient est de l'occident (Psaume 103 v.12).
Si quelqu’un tuait Caïn, il serait vengé sept fois. La vie de Caïn, ainsi que sa mort, revêtent toutes deux une importance aux yeux de Dieu. Même après sa mort, Dieu promet d'intervenir pour lui.
Pareillement, notre existence est précieuse pour le Créateur, et notre mort ne signifie pas la fin de toutes choses. Dieu a prévu une résurrection et un plan qui dépasse cette vie.
Ainsi, nous pouvons comprendre ce passage des Écritures : « Car si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur ; et si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur. Que nous vivions ou que nous mourions, nous sommes au Seigneur » (Romains 14 v.8).
Caïn a fait preuve d'irrespect envers Dieu en lui présentant une offrande inappropriée. Sa jalousie envers son frère l'a conduit à la vengeance, au meurtre et au refus d'assumer ses responsabilités, tout en considérant son châtiment comme excessif.
Malgré ses actions, Dieu prend le temps de rassurer Caïn. Il ne l’abandonne pas à son triste sort sans lui offrir un réconfort. En cas d'attaque contre sa vie, Dieu lui assure que sa mort ne resterait pas impunie.
L’amour de Dieu pour l’homme pécheur est un mystère que nous avons du mal à saisir. Comme il est dit dans Jean 3 v.16, « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son fils unique. »
L'homme se rebelle, il rejette Dieu et s'enfonce dans le péché, il ne fait aucun cas des appels divins qui parcourt le monde à sa recherche. L’homme insulte Dieu, il utilise son nom en vain et remet en question son autorité. Il ne cesse d’indiquer de manière claire et précise qu’il ne veut pas de Dieu dans sa vie et affirme sa volonté de mener son existence comme bon lui semble.
Et pourtant, contre toute attente, le Seigneur fait preuve d’un amour inconditionnel à l’égard de l’être humain. Il est totalement disposé à lui faire grâce et miséricorde.
L'Éternel est décrit comme miséricordieux et compatissant, lent à la colère et riche en bonté. Il ne nous traite pas selon nos péchés et éloigne nos transgressions aussi loin que l'orient est de l'occident (Psaume 103 v.12).
Si quelqu’un tuait Caïn, il serait vengé sept fois. La vie de Caïn, ainsi que sa mort, revêtent toutes deux une importance aux yeux de Dieu. Même après sa mort, Dieu promet d'intervenir pour lui.
Pareillement, notre existence est précieuse pour le Créateur, et notre mort ne signifie pas la fin de toutes choses. Dieu a prévu une résurrection et un plan qui dépasse cette vie.
Ainsi, nous pouvons comprendre ce passage des Écritures : « Car si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur ; et si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur. Que nous vivions ou que nous mourions, nous sommes au Seigneur » (Romains 14 v.8).
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